lundi 10 juillet 2006

KillingOedipe becomes interactive #2

Le concept de la chaîne trophique par Aurélien.

Après m’être retrouvé dans les brèves de comptoirs [ j’ai beaucoup travaillé pour cela : préparation physique en altitude, préparation alcoolique chez la Grand-mère, préparation psychologique chez Gérard Miller, …], je me devais quand même de vous expliquer un minimum le quoi du comment de qu’est-ce que ça pourrait bien être cette chose : la chaîne trophique.

Pour résumer et dans un soucis de pédagogie, on pourrait comparer cela à la chaîne alimentaire, jusque là, vous me suivez : le brin d’herbe qui est mangé par la petite bébête herbivore qui est mangée par la moyenne bébête carnivore qui est mangée par la très grosse bébête carnivore.

Pour compliquer, j’affirmerai que la chaîne ou réseau trophique est un ensemble de chaînes alimentaires.

Toujours là ? Attention cela se complique ! Maintenant on rajoute toutes les interactions que ces chaînes alimentaires peuvent avoir entre elles ( au sein de la biocénose ), mais également avec le biotope. Ces dernières sont en général du type physico-chimique : température, oxygénation, pH, lumière, énergie,…

Bon je pense que là on est pas mal. Si vous souhaitez maintenant le replacer à votre tour dans une discussion, il ne tient qu’à vous. Et enfin, pour tous les gens du premier rang ( les autres je sais qu’ils ont décroché au 2ème paragraphe ), je rajoute un petit bonus, une petite sucrerie intellectuelle : la biocénose et le biotope forme un écosystème !

Pour finir, je pourrai amuser les plus récalcitrant à la science avec cette petite constatation. L’équilibre de ces chaînes trophiques est primordial. En effet la moindre perturbation peut tout déstabiliser. Dans le cas de l’étang de Cattenom, la température de l’eau y est élevée ( rejet de la centrale ), ce qui peut modifier, par exemple, le comportement des poissons. Il faut savoir que les animaux ont une conduite de vie binaire, soit ils mangent, soit ils se reproduisent [ en fait, c’est comme nous ]. La température élevée favorise la reproduction, simulant des conditions favorables à la survie de la progéniture, au détriment de la croissance. Pour résumer, les poissons préfèrent niquer que grandir et se développer.

Après ce bref paragraphe plutôt barbant, et sachant que le comportement de l’Homme est peu différent de celui du règne animal, je ne vous poserai qu’une question : Alors, POUR ou CONTRE le réchauffement de la planète ?

1 Comments:

At 18 juillet, 2006 22:06, Blogger Jérôme said...

POUR!! comme ca, on noiera les hollandais...

 

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