samedi 4 avril 2009

Le pire, c'est qu'il était parmi les meilleurs.

Jour un peu spécial cette semaine, celui qui aura chapeauté l'équipe pendant un peu plus de 3 mois pour remplir "une mission spéciale", nous a quitté pour rejoindre la concurrence. De loin le plus étrange des managers: je ne l'ai pas vu prendre une seule responsabilité.

Dans notre France bloquée à l'heure de la lutte des classes, un patron comme lui se ferait sans aucun doute chahuter par ses employés. "Il branle rien, il connaît rien, bref il sert à rien."

Pourtant qu'est-ce que j'aurai appris à ses côtés, des trucs peut-être évidents mais bon. De l'importance de ne pas porter la responsabilité des autres justement, à l'équilibre vie pro/vie privée en passant par le concept du "manager filtrant". J'y reviendrai plus tard...

Et puis finalement le dernier enseignement, le plus improbable de tous sûrement: savoir claquer les portes... A méditer très fort, car si on a les doigts dans l'encadrement de la porte, on peut se faire très mal. Pink Rabbit Spirit.



Sinon, au cours d'une discussion pendant le pot de départ, une collègue de mon équipe m'a présenté comme son "boss". Si ce n'est pas la première fois que ça arrive, c'est en tout cas la première fois que je le remarque. J'étais content: le signe que j'attendais pour vous balancer mon petit précis sur le management.

1 Comments:

At 08 avril, 2009 23:12, Anonymous Anonyme said...

les cordons bleu heu non de la bourse d appartiennent et plus personnes pour te barrer la route! c est bon ça! reste a trouver un nouveau mentor pr doper ton rassio vie soc/ vie priv! lol

 

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