Et on n'a même pas fait la peau au Vélociraptor!

Ayé - j'ai participé à mon premier barbecue de l'année hier soir. Et le barbecue, c'est comme le vélo: une fois qu'on en a fait, ça ne s'oublie pas. En haut d'un immeuble, peu de chance de croiser un vélociraptor, pourtant on y croyait en "zyeutant" régulièrement les arbres en bas dans la cour. Mais rien.

Le tout s'est achevé au bar où on a pris nos petites habitudes, un peu trop sûrement puisque nous nous sommes aventurés sur le terrain dangereux dit "du cul de la serveuse". Messieurs, parmi les règles qui régissent la vie au bar figurent celle-ci: ne jamais commenter les fesses de la serveuse.

Et on a définitivement failli sur ce point hier soir/ce matin - d'autant que si c'est pour joyeusement gueuler que "Dis donc tu as grossi du cul toi!", on encoure des sanctions immédiates:

.:. La serveuse ne te sourit plus et fait du boudin derrière son bar.
.:. Crappy hour: le demi au prix de la pinte. Tout le temps.
.:. F.I.L.O : First in, Last out. Autrement dit, ta commande sera systématiquement traité en dernier par la serveuse
.:. Tu commandes un mojito, tu recois une menthe à l'eau.


Invivable, on est d'accord.

J'ai beau réfléchir à comment rattraper le coup, il me semble qu'il n'y a pas grand chose à faire. Alors on va devoir y retourner comme si de rien n'était, et ne pas sourciller la prochaine fois qu'elle nous vanne - parce que elle, elle n'a sûrement pas oublié et doit y penser à l'instant même où je tapote sur mon clavier.

Juste encaisser. Dans ton (gros) cul.