Tordons le coup à ces mythes #1 - Le Surfeur

Attention ennui en vue

Grand, blond, les yeux clairs, la peau dorée, des muscles saillants, le sourire bright. Les filles, reliser ces 3 lignes matin midi et soir, tous les jours si vous le souhaitez, ce sera comme vivre avec un surfeur: il n'a pas grand chose d'autre à offrir.


Alors le surfeur (se) nourrit (de) 2 choses: le style & la poésie. Pouet.

Bon le style ça va vite: un short long (oui, paradoxe), des sunglasses, les tong havabanananananaias, un petit bracelet usé et les jours de fête on sort la combi en néoprène qui va bien. Le monde du surf nous livre régulièrement ces tendances qui migrent de la plage au centre ville. Car sous les pavés, la plage paraît-il.


La poésie, c'est plus long: face à la mer, le regard perdu au loin, à guetter la vague pendant de longs moments. Mais looooong le moment hein. A tel point qu'on se dit qu'il doit y avoir quelque chose à l'horizon, c'est pas possible. Alors tu regardes comme lui, comme un surfeur... Comme un con en fait. Ça ne rime à rien, c'est ça la poésie du surfeur.


Le bilan: quel ennui les filles... sachez en plus que le surfeur se couche à 22h pour choper la première vague à 5h du mat - en voila qui sont contents que le film de France 2 finisse à 22h, au moins ils voient la fin maintenant.
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Bon ok, j'aimerais bien essayer un jour.