samedi 31 janvier 2009

Steve Jobs rules.

Juin 2005, Steve Jobs livre un discours à la nouvelle promotion de Stanford. Ou plutôt: "il se livre". 3 récits personnels, une leçon de vie. Captivant et brillant, réservez vos 15 prochaines minutes, vous allez peut-être éviter de perdre quelques années.





la vidéo sous titrée est par là.

Last night Facebook saved my life

C'est quand même bien foutu Facebook. Tu fous "J'ai un gros bouton sur le nez" en statut, et puis direct ça te colle la honte avec une pub.

- Please press on the button -


Par contre faudra me dire qui fait des trucs cochons avec mon profil quand je suis pas chez moi parce que là... nein... je dis nein.

- cul en soldes -

jeudi 29 janvier 2009

Un lien inutile

Si vous voulez voir à quoi ca ressemble chez Beigbeder...

mercredi 28 janvier 2009

Pêle mêle... facon horoscope

Amour
Il y a bien longtemps que vous n'êtes pas tombé amoureux au coin d'une rue, pour 5 minutes. Cela cache quelque chose. Un voyage à Paris ou Lyon s'impose, posez votre Quechua 3s dans la Rue de l'Université.

Moral
Euh... Neutre on va dire, vous attendez les beaux jours. Vous vous imaginerez sur une plage dorée avec un verre de rhum à la main - dès 10h du matin et jusque minuit sous la lune. En attendant, le paquet de Schokobons est comme un petit soleil dans votre salon ce soir.

Santé
La pire des maladies vous a frappé : un bouton tout rouge sur le nez. "un" parce qu'il est seul, mais il compte pour deux. Douloureux hier et ridicule aujourd'hui : Bouli est ton ami.

Professionnel
Les nuages arriveront bien assez tôt, alors profitez du beau fixe. Vous recevrez des félicitations inattendues et apprendrez que finalement vous ne travaillerez pas ce samedi. Olé!

Sport
Vous le savez : vos chaussures de sport sont toujours dans le carton. Feignasse. Mais vous deviendrez assidu au badminton et réserverez votre appartement au ski pour Mars. Pile la semaine où a lieu the concert. Vous ne le verrez pas en live donc. 2 fois que vous le ratez, ça devient lourd.

Cuir chevelu

Mars est dans votre décan et ça fait pousser vos cheveux. Songez au coiffeur.

lundi 26 janvier 2009

Petites pensées du soir

Dublin, c'était vachement bien. L'Irlande abrite un peuple de littéraires qui apprécie la vie: en plus d'écrire des livres, ils mangent, ils rigolent, ils boivent, ils chantent - le tout avec cet accent qui, bien que local, me fait dire intérieurement "mais il est d'où lui?". A refaire. I want to see Malahide.

Si j'avais un twitter, j'y mettrais ma définition du soir: être adulte, c'est avoir des problèmes qui ne sont pas de son âge.

Et puis je rajouterais un petit "Imbécile." qui s'adresserait à moi, pas forcément aujourd'hui, ni demain, mais un peu plus tard. Parce que je vis des trucs ces derniers mois dont je sais déjà que je vais regretter plus tard de ne pas avoir (ré)agi. Vous aussi?
.
.
.
"Imbéciles."

vendredi 23 janvier 2009

YES WE CAN... miss our flight T.T

Dublin here we come!!

Ou pas. En fait nous sommes arrivés en retard à l'aéroport, du coup, la madame de Ryan-en-l'air n'a pas voulu nous laisser embarquer. Arriver à 10h05 au check-in quand l'avion décolle à 10h10, c'était un peu short. True.

D'un commun accord avec nous-mêmes, nous avons décidé de ne pas prendre l'avion de 18h00 à inspire fort "Zweihundertfuenfzig euro pro Person" expire doucement - en français, on dit "racket". Bien nous en a pris, nous retentons notre chance demain matin pour 30 euros par tête d'ange - in english, on dit "a fucking good deal".

Allez, on remet ça?


jeudi 22 janvier 2009

118 218 - Les renseignements

"Bonjour. Je voulais savoir si Walkyrie c'était la suite de Val Kilmer? En vous remerkiant!"

Voilà voilà...

mercredi 21 janvier 2009

Au boulot.

En 2009, je sors les boutons de manchette.


mardi 20 janvier 2009

Et un deuxième picon, ouaich!

J'ai été payé en avance en plus. KillOe fait dans la revente de voiture cette fois-ci.

Et l'opération continue: un picon offert à Jéjé, c'est votre pub/message dans le bandeau, ce que vous voulez.


*** Vends Clio 3 RS 03/2007 - 37.000km - €15,300.-***

Banlieue Treize - Un film de lettres


"Banlieue 13 n'est qu'un film candide, au scénario inexistant, prétexte à enchainer des cascades."
.
.
.
Viens gamin(e), tiens la main de Papa, il a vu le film et il va t'expliquer que Banlieue 13, c'est que du bonheur.



J'ai maté un film d'anticipation.

Résumer Banlieue 13 à une succession de cascades relèverait de l'évidence puisque c'est dans ce sens que vont 99% des critiques cinéma. Pourtant, ce film me paraît construit : le réalisateur se base sur un constat actuel - "ma 6T va crack-er" - pour développer dans son long-métrage sa propre vision des choses et ce qu'il peut selon lui se dérouler dans un futur proche (2010 je crois - ouahou c'est déjà demain!).

En l'occurence, ca tourne plutôt mal, les cités deviennent de vrais getthos - eh!oh! - enclavés entre des murs auréolés de barbelés, et où la police ne fait plus régner l'ordre public. Une zone de non-droit pour reprendre un terme "politicien", je préfère dans ce cas le concept de "banlieue intramuros".

(constat + analyse) * projection pessimiste = film d'anticipation

Et "film d'anticipation", c'est plutôt la classe et ca relègue le qualificatif de "film de cascades" très très loin... A croire que les critiques de cinéma ont préféré mettre de côté leur esprit affûté pour essayer de suivre les acteurs/cascadeurs de ce film: emprunter le chemin le plus court, à n'importe quel prix, en sautant de balcons en gouttières. Sauf que ce n'est pas leur métier de prendre des raccourcis.

T'as pas anticipé bonhomme.



La morale

Un "film pour racaille" j'ai entendu dire... Haro! Ceux qui disent ça n'ont pas regardé Banlieue 13 jusqu'à la fin. Scarface est un film de racaille par exemple => aucune morale, ça parle de respect à tout bout de chant - "Montre moi du respect", "Respecte ma soeur" - bla bla bla. Bon et puis la B.O. de Giorgio Moroder, faut vraiment aimer les Nike Air Requin pour pouvoir l'apprécier de nos jours. Ici, Banlieue 13 préfère jouer dans le registre de la morale. Et ça fait du bien. C'est vrai, quand on évoque les banlieues, on parle police, drogue, gangs, règlements de compte, barres de fer et ça se termine mal.
Dans Banlieue 13, on prend les mêmes et c'est le juste qui l'emporte. "Trop candide!" diront les critiques. Oui, les histoires qui se terminent bien sont souvent naïves. On souhaite aux critiques que leur(s) histoire(s) se termine(nt) bien.




J'ai revisité Marx grâce à Banlieue 13

En y regardant de plus près, Banlieue 13 revisite la lutte des classes de Marx. Celui-ci y décrivait (et je vais être bref car je n'y connais pas grand chose) l'opposition entre Bourgeoisie et Prolétariat comme notre moteur social, celui qui nous permettait d'évoluer et d'écrire l'Histoire.

Or les termes "bourgeoisie" et "prolétariat" sont un peu datés et l'apparition de la classe moyenne fout le bordel dans le concept originel, alors Banlieue 13 propose comme une mise à jour de la théorie de Marx : la lutte des classes, c'est l'opposition des marcels aux chemises. Contrefacon Calvin Klein vs Pli droit sur les manches. Eh ouais, regardez bien, les héros sont en marcel, même le flic. Ce film est un peu la révolution 2.0 de Karl Marx.

J'espère que Banlieue 13 Ultimatum poursuivra cette analyse là où le premier volet s'arrête, en abordant le thème du "marcel sous la chemise" : il me laisse perplexe mais doit renfermer beaucoup plus de secrets qu'on ne le croit sur nos sociétés actuelles.


Enchanté, moi c'est Marcel.

samedi 17 janvier 2009

Ah oui j'oubliais..

Je vous souhaite une...


Et hop! Un picon, un!

Avec citron et tout et tout. Et les soldes continuent chers lecteurs, votre pub/message dans le bandeau pour un picon. N'hésitez pas, mailez moi!

***Conseillerais-tu à Sébastien R. de s'inscrire dans une agence de rencontres? Oui, signé FB***

jeudi 15 janvier 2009

SuperJ - vers l'infini et l'au-delà

Des fois tu évites des drames, tu sais même pas comment ça se fait... Genre hier peu après 22h30, j'ai fait un truc qui tient limite du super pouvoir. Appelez moi SuperJ.

Mais bon, la fièvre me ramène très vite sur terre, un peu comme si ma super cape s'était prise dans le réacteur d'un 747.

4h40, je vais peut-être partir au boulot moi...

mercredi 14 janvier 2009

Fieber


***


Tes mains sont gelées?
Ton front est brulant? La sécu te propose LA solution gratuite: tes mains dans ton cul!*

*Zu Risiken und Nebenwirkungen, fragen Sie Ihren Arzt oder Apotheker


***


lundi 12 janvier 2009

Brèves de comptoir

"T'as un blog?"

Frédérique, ma dentiste

dimanche 11 janvier 2009

L'instant geek.

xxxxxxx said : tu déconnes?
Jérôme said : Je jute sur la tête de tes enfants.

.
.
.
Méfiez-vous, le "r" se trouve bien trop près du "t" sur les claviers. On sait maintenant que la fin du monde aura forcément lieu un dimanche et n'aura tenu qu'à une faute de frappe. Sur un Qwerty ou un Azerty... ça... je ne sais pas.


samedi 10 janvier 2009

"Tiens, laisse un mot sur la carte!"

Je suis en train d'écrire un mot pour l'anniversaire de Yann et je me rends compte que tous les nombres riment avec "dent"...

25 ans, toutes tes dents
26 ans, toutes tes dents
27 ans, toutes tes dents
28 ans, toutes tes dents
29 ans, toutes tes dents
etc - tu peux continuer il n'y a aucune faille.


J'ai du le foutre sur un bon paquet de cartes d'anniversaire, depuis le collège - "Trop mortel ta boom!!! Happy birthday, 14 ans et toutes tes dents! Trop bien Kurt Cobain!"-, en passant par le lycée - "Hey hey j.a. pour tes 18 ans, et tu as encore toutes tes dents!!! Ouaich à nous les sex shops!"-, jusqu'à aujourd'hui - "27 ans, toutes tes dents, tu deviens grand! Je t'embrasse bonhomme."
.
.
.
Je suis désolé, je vous présente mes excuses si vous avez eu une carte avec ce mot. J'arrête.

Réflexion(s) sur le bouc

Le bouc m'interpelle. Je ne sais pas d'où ça vient, de quand ça date et qui l'a porté en premier. Mais en fait je m'en fous, je m'intéresse plutôt au cas de ceux qui le perpétuent. Ce qui suit est un postulat personnel, alors n'attendez ni raisonnement ni illustration par l'exemple.




1. L'élément du suiveur
Le bouc traduit pour moi un trait de caractère: on est un suiveur. J'imagine mal que chaque nouveau porteur de bouc "réinvente" la chose, il s'agit là plus de reproduire quelque chose de vu sur quelqu'un d'autre. Alors on a des variantes dans le bouc qui est très sensible aux effets de mode, ce qui est assez étonnant d'ailleurs, c'est qu'il y survive à la mode : il y a toujours un bouc qui pousse quelque part. C'est ainsi que les porteurs de bouc se succèdent et traversent l'Histoire, ils se passent le flambeau, car un suiveur suit et est suivi.
Et ce n'est pas grave d'être un suiveur hein, n'y voyez là aucun jugement négatif, parfois mieux vaut suivre qu'être pionnier.





2. Le regard sur les autres
J'envisage les choses de cette façon: le futur schnurbatu croise le déjà schnurbartu et se dit "Tiens, c'est sympa ça"... Un homme qui mate un homme, j'entends un air de Mecano dans ma tête juste là, maintenant. Bref, à la vision de la chose suivent un jugement esthétique et une prise de décision: "j'en veux un aussi... je veux mon bouc!". Oui, le porteur du bouc nous mate tous et nous juge, il est attentif à son entourage, alors tirez en les bonnes conclusions: prenez soin de vous, il prendra soin de lui. Le Schnurbartu devrait être reconnu d'utilité publique.




3. Le regard des autres sur soi
Prenez soin de vos Schnurbartus donc, d'autant plus que s'ils nous observent, ils sont sensibles à notre regard. Vous remarquerez que les boucs ne se dévoilent que les lundis, et que les 2 jours qui précèdent -notamment le dimanche de merde- se passent essentiellement devant la glace pour juger sur pièce, la salle de bain devient l'espace d'un week-end un Guantanamo carrelé en bleu avec rideau de douche: le Schnurbartu ne se risquera sûrement pas à être la risée du bureau le lundi matin. Un bouc le lundi, c'est un cahier des charges complexe qui aura été complété le week-end.


Nous sommes samedi, je bois mon thé en pensant à ces milliers de petits boucs naissants dont beaucoup ne verront pourtant pas la couleur du lundi. Assurément, le bouc m'interpelle.

mercredi 7 janvier 2009

Mariah meets Banlieue 13

Et histoire de prolonger mon bras d'honneur au cinéma, je m'en vais regarder "Banlieue 13" sur mon gros canapé.

Et peut-être une review du film ici même, faut voir.

mardi 6 janvier 2009

Gimme your Love, Gimme your Love

On m'avait jamais dit qu'il y avait des framboises dans Amélie Poulain...

.
.
.

Contre vents emails et marées sms, non! je ne regarderai pas Le Fabuleux Destin d'Amelie Poulain ce soir.


Ce film est déjà spécial parce que je ne l'ai pas vu, ni au cinéma, ni en dvd, ni à la télé et même pas en divx. Ca pourrait presque paraître pour de l'entêtement mais c'est le pur fruit du hasard. C'est plus le film qui m'évite, que l'inverse.

Ce film, je vais le cueillir. Un jour spécial, avec une personne spéciale. Dans 1 an, dans 10 ans, plus tard ou demain.

.
.
.

Histoire de matérialiser mon bras d'honneur au monde du cinéma ce soir, je vous annonce, le poing levé et le doigt tendu vers le ciel direction La Seine-Saint-Denis et Hollywood, je vous annonce que je regarde Glitter sur Virgin 17.

Glitter... mais c'est quoi déjà ce film?
Ca repose sur 2 concepts: Mariah & Carey


Yeah Mariah, gimme your love, gimme your love.


lundi 5 janvier 2009

Plus belle la vie.

J'attends 3 signes de la Vie en ce début 2009.

Si ça arrive, je continue ce blog. Mais je reprends tout en main: du fond, un vocabulaire léché, des argumentaires qui feraient tomber tous les murs.

Si ça n'arrive pas, je continue ce blog. Pour me plaindre, crier ma tristesse et faire pleurer les violons.

J'attends.


samedi 3 janvier 2009

On m'aurait menti?

La crise en 2009 n'est pas financière, mais amoureuse.


<