dimanche 30 juillet 2006

Brèves de comptoir - Spéciale La "Fuck"-inerie

"Les femmes sont pacifistes que ca..."
Nabla, joli mot

"Attends."
Polo, une poissonnière, 1 mot, 1 geste

"Va te faire cuire le cul dans ta gueule!"
Fix, dans l'innovation verbale


jeudi 27 juillet 2006

N'imp #1

En ces temps caniculaires, une petite pensée pour nos amis ouvriers, hommes de l'ombre qui, pourtant, souffrent de coups de soleil... d'un coup d'amour... d'un coup de "je t'aime".





dimanche 23 juillet 2006

Un samedi soir sur la Terre

Heureusement qu'il y a des samedis soirs après certains vendredis ratés...

De cette soirée, je retiendrais les point suivants:

- Je risque de perdre des amis à cause de mon appart actuel: monter 3 étages sans ascenceur par 45°C, ca les achève... je vais essayer d'y remédier.

- Le concept d'inviter chez soi des amis qui amènent le repas et la boisson est très bon... ma tâche se restreint alors seulement à laver/casser mes verres à bières le lendemain. Et ce Rafarin de Steph', une merveille! ... Comment? ... Navarin? ... Ok! ben le navarin fut excellent : viande tendre et légumes qui fondent en bouche. Quant à la clairette de Die, le jury lui décerne sa mention tout comme à Aurel'.

- Il me faut un petit bloc-notes pour noter les phrases qui ont fusé tous azimuts... je me souviens avoir bien ri sur certaines mais je ne les ai plus en tête! Cette soirée aurait du être la fête de ma rubrique " Brèves de comptoir", ce sera finalement un génocide.... snif.

- Les personnes présentent hier ne souffriront pas de bronchite dans les 12 prochains mois grâce à ma chicha Vicks Vaporub. C'est beau le pouvoir des plantes.

- Je veux un dancefloor dans mon prochain appart, j'y inviterai Ariane qui nous a fait rêver avec ses pas de danse. "Mais non vous comprenez rien, c'est de la salsa, là faut que tu casses!" dixit Stéphanie. [NdB: tiens, les phrases chocs commencent à me revenir en tête].

Les meilleures soirées sont bien celles qui tiennent plus de l'improvisation que de l'organisation.

Cimer mes Alberts!


samedi 22 juillet 2006

Dernier arrivé, premier parti

Ce titre résume assez bien ma soirée d'hier. Voici les faits.

Une collègue me parle dans le courant de la semaine d'un barbecue qu'elle veut organiser au bord d'un lac. Nous sommes mercredi matin et là je commets une erreur lorsqu'elle me demande si je viens: je dis "oui"... La machine infernale est lancée.

Le lendemain, jeudi donc, je prends rdv pour une visite d'appart programmée en fin d'après-midi le vendredi [NdB: oui, je compte déménager], ce qui m'oblige donc à rentrer d'abord sur Thionstadt avant de les rejoindre au lac maudit, le lac d'Insenborn si je me souviens bien du nom.

Le jeudi soir, avant de me coucher, je me dis que je vais regarder sur internet comment se rendre à ce fameux lac... Il est un peu plus de 23h quand mon coeur s'arrete:







Thionstadt-Insenborn... 100, 79 kilomètres!

Evidemment, je songe à tout annuler. Par la suite, je me dis qu'après une semaine assez rude au boulot, c'est une bonne occasion pour se détendre et que, pour une fois, tenir ma parole me fera le plus grand bien. Au diable les kilomètres, la Twingomobile m'amènerait au bout du monde s'il le fallait. Et pour peu que la visite d'appart se passe bien, je peux déjà annoncer une crémaillère...

Manque de bol, après 45 minutes passées dans les bouchons, je suis poussé à annuler la visite. Ca commence fort... Je rentre chez moi, de mauvaise humeur et la chemise trempée par la combinaison "chaleur/pas de vent/pas de clim". Dans ma tête raisonnait cette phrase de Mortal Kombat: "Finish him".



Un peu de repos et il est déjà 19h45 quand je décide de me rendre à Insenborn... Pas de plan, mais les indications de ma collègue... j'avoue que je le sens mal... j'avais raison, ce fut un plantage total: les panneaux n'indiquent pas les bleds que j'ai sur ma feuille de route, les routes sont merdiques, les belges ne savent pas rouler,...

Résultat: je suis grognon. Une fois arrivé, j'essaie de faire un effort, de bien me tenir. Mais pas moyen de m'amuser, ma soirée est d'ores-et-déjà gachée...

Avant de partir, j'hésitais à prendre mon maillot de bain mais je me suis dit "tu penses, jamais ils iront se baigner dans le lac"... ils étaient tous dans l'eau... paraitrait qu'elle était bonne en plus... à l'inverse de mon humeur...


Voilà comment, une merguez et 2 bières plus tard, je décide de repartir, gavé comme jamais, notamment par le cd de Yuri Buenaventura qui passait en boucle.

Et là j'ai découvert un nouveau théorème mathématique:

100 km à l'aller = 100 km au retour. Même en Twingomobile...

Donc on s'occupe comme on peut...

mercredi 19 juillet 2006

Paraitrait que...

... je ronfle!

Je n'y crois pas une seconde. Toi qui prétend ne pas pouvoir dormir quand je suis dans la même pièce, tu mens!! tu me spolies!! c'est du bluff!

Opéré des végétations dès mon plus jeune âge [NdB: toutes mes excuses à l'infirmière à qui j'ai du vriller les tympans par mes cris stridents du haut de mes 2 ans], mes voies respiratoires sont complètement dégagées. Je suis persuadé que certains montent une conspiration contre moi... Pourquoi? Je me le demande. Sûrement le jalousie. Ma capacité à m'endormir plus vite que Carl Lewis ne courait le 100m, et je dois pas être loin de la vérité en disant ca, doit en agacer plus d'un. Je le comprends. Un don de la nature pareil, ca vaut tous les superpouvoirs du monde. Batman, Superman, Spiderman, Hulk, vous pouvez rentrer chez vous, Jéjé veille sur le monde... enfin le jour.

D'ailleurs, chers acolytes superhéros, je vous suggère de passer aux 3x8 pendant mes prochaines vacances.

Clark "Superman" Kent, je te propose la tranche horaire 8h-16h, ca te laisse la fin d'après midi pour repasser ta cape et laver ton slip... à 60° hein car tu laisses de sacrés traces mon salaud.

Peter "Spiderman" Parker, tes horaires de travail seront 16h-0h, eh oui il est hors de question que tu arrêtes tes études.

Bruce "Batman" Wayne, tu auras la tranche 0h-8h, tu profiteras de la fraîcheur de ta grotte pour dormir le jour, loin des rayons du soleil qui irrite ta peau blanche.

Hulk... excuse moi j'ai oublié ton vrai nom... c'est bon t'enerve pas... Mais tu as les cheveux secs dis moi quand tu es tout vert! Tiens, prend ce chèque-cadeau, tu auras le droit à un soin capillaire gratuit chez Camille Albane. C'est offert par KillingOedipe! Alors toi, petit veinard, tu devras remplacer tes petits camarades si l'un manque à l'appel : sachez que toute absence doit être justifiée par un mot signé par les 2 parents. Comment ca vous avez pas de parents? aucun d'entre vous? ...Chelou les gars!

Hulki, passe demain soir à la maison, tu essaieras les costumes de super, spider et batman que mes doigts de fée t'ont confectionnés! et merci pour la couverture verte que tu m'as offerte, elle plait beaucoup à mes amis. Et dire qu'ils pensent que ca vient de chez Ikea...


lundi 10 juillet 2006

KillingOedipe becomes interactive #2

Le concept de la chaîne trophique par Aurélien.

Après m’être retrouvé dans les brèves de comptoirs [ j’ai beaucoup travaillé pour cela : préparation physique en altitude, préparation alcoolique chez la Grand-mère, préparation psychologique chez Gérard Miller, …], je me devais quand même de vous expliquer un minimum le quoi du comment de qu’est-ce que ça pourrait bien être cette chose : la chaîne trophique.

Pour résumer et dans un soucis de pédagogie, on pourrait comparer cela à la chaîne alimentaire, jusque là, vous me suivez : le brin d’herbe qui est mangé par la petite bébête herbivore qui est mangée par la moyenne bébête carnivore qui est mangée par la très grosse bébête carnivore.

Pour compliquer, j’affirmerai que la chaîne ou réseau trophique est un ensemble de chaînes alimentaires.

Toujours là ? Attention cela se complique ! Maintenant on rajoute toutes les interactions que ces chaînes alimentaires peuvent avoir entre elles ( au sein de la biocénose ), mais également avec le biotope. Ces dernières sont en général du type physico-chimique : température, oxygénation, pH, lumière, énergie,…

Bon je pense que là on est pas mal. Si vous souhaitez maintenant le replacer à votre tour dans une discussion, il ne tient qu’à vous. Et enfin, pour tous les gens du premier rang ( les autres je sais qu’ils ont décroché au 2ème paragraphe ), je rajoute un petit bonus, une petite sucrerie intellectuelle : la biocénose et le biotope forme un écosystème !

Pour finir, je pourrai amuser les plus récalcitrant à la science avec cette petite constatation. L’équilibre de ces chaînes trophiques est primordial. En effet la moindre perturbation peut tout déstabiliser. Dans le cas de l’étang de Cattenom, la température de l’eau y est élevée ( rejet de la centrale ), ce qui peut modifier, par exemple, le comportement des poissons. Il faut savoir que les animaux ont une conduite de vie binaire, soit ils mangent, soit ils se reproduisent [ en fait, c’est comme nous ]. La température élevée favorise la reproduction, simulant des conditions favorables à la survie de la progéniture, au détriment de la croissance. Pour résumer, les poissons préfèrent niquer que grandir et se développer.

Après ce bref paragraphe plutôt barbant, et sachant que le comportement de l’Homme est peu différent de celui du règne animal, je ne vous poserai qu’une question : Alors, POUR ou CONTRE le réchauffement de la planète ?

Ach wie Schade!!

J'ai tenté de résister jusqu'ici mais je craque: je dois vous faire part de mes commentaires sur cette finale de Weltmeisterschaft. Je serai bref...

...le claquage de Vieira...
Patrick, tu cours trop sur les talons, travaille tes appuis et tu progresseras dans ton jeu.

...les crampes de Henry...
Thierry, n'oublie pas de t'hydrater à chaque arrêt de jeu, tu es fréquemment sujet aux crampes, tu le sais alors anticipe! Eau et étirements seront ton salut.

...l'expulsion de Zidane...
Zinédine, tu auras encore prouvé que techniquement, tu es le plus fort: bel appui des deux pieds, le coup de tête part du buste et se poursuit avec les épaules, le cou et la boîte cranienne sont bien dans le prolongement du dos afin de développer un maximum de puissance. Et ca allait dans le sens du jeu. Par contre, tu mets le pied droit en avant et, tu le dis toi même, "la jambe gauche d'abord, toujours la jambe gauche!". T'es un grand bonhomme en tout cas...




Revenons-en à nos moutons.

Toujours dans l'optique de rendre ce blog un peu plus interactif, j'ai demandé à quelques uns d'entre vous de m'écrire un petit texte sur un sujet spécifique où ils sont spécialistes et/ou passionnés. C'est Aurélien le premier à s'y coller, je t'en remercie chaleureusement!

Chers lecteurs, n'hésitez pas à m'envoyer vos textes, je veux m'instruire et rire.


dimanche 9 juillet 2006

Brèves de comptoir

"On va gagner avec 2 buts d'avance et après on pourra chanter "Et 1, et 2, et 3 - 0"!!!"

Mutti, emportée par son élan avant la finale France/Italie

dimanche 2 juillet 2006

Dafts are alive!

Mais quel week end mes amis!!

Vendredi, c'est sous un soleil de plomb que nous - Jay, Cédric et ma pomme - nous sommes rendus à Belfort pour y participer aux Eurockéennes, millésime 2006. Notre pass n'est valable que pour la première journée mais au vu du programme on va pas le regretter: tout ce qui nous interesse passe le premier soir!

Anaïs (pop française), Seun Kuti (musique afro, petite déception quand même, j'en attendais plus), Deftones... la musique de ces derniers étant assez violente, nous décidâmes [NdB: YEEESSSS, mon premier passé simple sur le blog!!] de nous restaurer: une tartiflette fera l'affaire, arrosée d'une bonne bière, nous sommes heureux d'autant plus que le meilleur est à venir...

21h00, l'ambiance monte d'un ton avec les Artic Monkeys qui se mettent en place sous le chapiteau blindé de monde. Ils commencent avec le même titre qui ouvre leur album, une bonne idée puisque ca plante direct le décor. Des riffs de guitare qui te rentrent dans la tête, un batteur qui peut se lacher dans la mesure où on a plus l'impression que c'est le bassiste qui donne le rythme... Ils passent en revue tous les titres de leur album, les gens crient, sautent et transpirent...

Une petite heure plus tard, direction la grande scène pour voir Dyonisos et Synfonietta, un orchestre philarmonique de 60 personnes. On m'avait beaucoup parlé de Dyonisos comme un véritable showman... pas ce soir en tout cas. Il faut dire qu'il n'a pas les circonstances avec lui: oui il fait beau, oui il y a 30000 personnes devant la scène mais le son a laché au bout de 15 minutes. La coupure de 5 minutes lui a foutu le spectacle en l'air, dommage!

On décide donc de se préparer à la suite en ingurgitant un kebab belfortain: dégueulasse, pas de sauce mais 6 euros en moins dans le portefeuille...

A minuit, ce sont les Strokes qui prennent la relève, l'occasion pour moi de les découvrir. Dans toute cette vague de groupes rock britanniques, je suis totalement perdu... maintenant je sais que les Strokes c'est la musique de la pub EDF!! et bien plus aussi puisque c'est eux qui ont commencé à soulever la foule. Ils finissent vers 1h30, il faudra encore patienter 1 heure avant de voir les Daft, c'est bien pour eux que nous sommes venus.

La foule se masse, nous ne sommes pas les seuls à vouloir les voir, étonnant, ils ne sont pas connus pourtant... On ne lâche pas nos places, à une 50aine de mètres de la scene, en face d'un mur d'enceinte. Les organisateurs protègent la scène avec un grand rideau noir pour planter le décor tranquillement. Lorsque le rideau tombe, nous voyons une pyramide, ouverte sur le haut, on se doute que c'est de là que les Daft Punk vont orchestrer leur show.

Il est 2h30 tapantes, les lumières s'éteignent... les gens hurlent... quelques notes se font entendre... ce sont celles de "Rencontre du troisième type", celles qui permettent aux Terriens d'entrer en contact avec les extra-terrestres...



Masqués, chromés, vêtissant leur blouson de cuir, c'est parti pour "Robot rock". En un peu plus de 2 heures [NdB: heure de type trop courte], ils enchaîneront des titres de leurs 3 albums, ca part dans tous les sens, ils mettent le paquet avec des remixs bien furieux. C'est maintenant une évidence: les Daft en cd, c'est excellent... En live, c'est Grand!

Du son, des lumières: les facades de la pyramide reflètent des quantités d'images, des étoiles ou encore des lignes fluos qui me rappelaient les motos de "Tron". Ou encore ce grand panneau de leds positionné derrière eux qui leur permet notamment d'afficher le texte des chansons.




Around the world, Harder Better Faster Stronger, Brainwasher, tout y passe. 35000 personnes qui les acclament à la fin, Thomas Bangalter qui lève les mains en l'air en faisant le signe des rockers, je sais pas comment ça s'appelle mais bon tu fais pareil! Tu fermes le poing et tu tends l'index et l'auriculaire, le mouvement de haut en bas de la tête reste accessoire mais fortement apprécié par le jury!

Voilà, j'aurais rêvé de voir les Beatles en concert, ce ne sera pas possible... Je rêvais de voir les Daft, c'est fait mais faudra pas s'arreter là, reste à aller les voir en rave, ca doit donner... Et pourtant, comme beaucoup je pense, je n'étais pas un grand fan du dernier album mais finalement les Daft nous ont montré pourquoi il était au même niveau que les autres. Ces mecs sont fait pour le live, tout comme leurs albums.

Et Rollin & Scratching en live, pfff mais quel moment mes enfants!


Puis la France en demi-finale, merci les Bleus, même pas besoin de l'aide de Marabout Guerome cette fois ci, affaire à suivre!!

---edit du 17 juillet 2006 ---

Je viens de retomber sur l'article paru dans Le Monde à ce sujet, des articles aussi élogieux il y en a pas souvent...


Daft Punk, fastueux crescendo électronique

A 2 heures et demie du matin, l'immense pelouse qui s'étend au pied de la grande scène des Eurockéennes est encore noire de 30 000 personnes.

Le 30 juin, la journée d'ouverture de la dix-huitième édition du festival belfortain, qui se terminera le 2 juillet, a jusque-là déroulé des concerts d'une excitation assez routinière (Anaïs, Deftones, Arctic Monkeys, The Strokes). Mais on pressent qu'un événement se prépare derrière le grand rideau sombre. Daft Punk vient de lancer sa première tournée mondiale depuis près de dix ans. Et ce concert est leur seule date française.

Le duo formé par les Français Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo (Le Monde du 30 juin) a longtemps fait de la surprise un mode de fonctionnement. Dans les deux premiers albums (Homework et Discovery), la découverte de leur musique s'accompagnait nécessairement de l'étonnement de nouveaux sons et images, mettant en scène leur anonymat via la naissance d'alter ego cybernétiques. Cette course à la sensation, doublée d'un don pour les défoulements extatiques, en avait fait des stars internationales de la génération house et techno.

En 2005, un troisième album (Human After All) mettait en sourdine cette quête de spectaculaire et décevait en conséquence. Leur retour sur scène correspond à une remise à niveau de leur capacité de surprendre.

A la tombée du rideau apparaît une pyramide, au sommet soulevé comme un chapeau. Retentissent soudain les cinq notes qui, dans le film Rencontres du troisième type, servaient à dialoguer avec les extra-terrestres. Sanglés de cuir, coiffés de casques intégraux futuristes, les Daft prennent alors les commandes en haut du monument.

TENDUS VERS L'EFFICACITÉ

Ce ne sont encore que des contre-plongées de lumières blanches et des lignes blafardes, projetées au son du mot "robot" épelé au Vocoder, mais la limpidité de la puissance numérique et la cohérence graphique impressionnent déjà.

Tout n'ira ensuite que crescendo. Certes, on retrouve l'art originel du groupe, né de l'observation des meilleurs DJ. Dans leurs ordinateurs, ils ont stocké toutes leurs musiques mixées dans l'instant, tendues vers l'efficacité de l'impact dynamique et de la danse. Le duo reste statique sur son perchoir, mais les sons et lumières fusionnent et virevoltent avec une époustouflante magie. Dans la première demi-heure, c'est une ruche de néons, de figures dessinées sur des écrans géants. Puis la pyramide elle-même s'anime d'une géométrie en trois dimensions, embarquée dans un voyage sidéral.

A chaque seconde son ébahissement : un concert inoubliable, que des milliers de spectateurs cherchent à immortaliser sur leur téléphone portable.

Stéphane Davet

Article paru dans l'édition du 02.07.06

<