mercredi 26 novembre 2008

Incroyable ce champagne.

On a débouché la bouteille vendredi soir, ou plutôt vendredi dans la nuit, voir carrément samedi matin en fait. Je conserve le reste dans le frigo depuis lors, sans le bouchon et sans même recourir au mythe urbain & bourgeois de la cuiller "qui garde les bulles".

Et bien, Fix, sache qu'il se boit comme vendredi ton champagne, pas d'altération au goût, les bulles sont présentes - ok, moins "agressives" mais toujours là. Mais comment font-ils? Je mise sur une technique de la Deutsche Demokratische Republik, un truc qui avait du servir à leur nageuses, que nous prenions tous pour des nageurs.


lundi 24 novembre 2008

Le renard, ce scotch à pare-choc qui s'ignore

-Fait pas trop le malin, la prochaine fois je te tape-


Je me demande ce que fait un renard après avoir frôlé le pare-choc d'une twingo revenant du boulot. Bon ok, ca saute sur le bas-côté, dans le fossé, puis il trace dans les champs. Mais après?

Eh bien le renard, il est comme toi et moi. Il se traîne jusqu'à l'orée du bois, en regardant par terre. Quand il commence à réaliser que ça n'est pas passé loin, ses genoux claquent encore plus fort. Alors pour se calmer, il s'allume une bonne marlboro, difficile avec les pattes moites, mais il la fume en 3 lattes, comme un chacal. Une fois chez lui, il trace jusqu'au mini-bar et s'enfile quelques verres de scotch, pas de chips ce soir, ce bruit sourd dans la gueule lui rappelerait trop le choc qu'il a évité de justesse. Un épisode de Plus Belle La Vie, et au lit.


dimanche 23 novembre 2008

Dimanche musique

- du shit, un rott, une voiture dépouillée... il n'y a pas que la télé qui vend du cliché -

Je suis retombé sur mon disque du 113 aujourd'hui, complètement par hasard. Ce qui est bien avec le 113, ce sont les intros : c'est presque toujours du crescendo et je suis amateur, c'est un peu comme proposer un ascenseur à l'auditeur histoire de monter plus haut ensemble. Quelques notes et je secoue la tête, parfait pour ce dimanche.

samedi 22 novembre 2008

Samedi, ca me chante

.:. Le fou/sourire du matin et 3 concepts de merde
au delà de 99% - ...attention à la kalachnikov sur ta tempe
entre 50 et 52% - il n'y a pas de pouvoir
en dessous de 50% - ben t'as perdu


.:. Le sms du matin
à demain si j'ai besoin de vous: voilà comment se termine le sms de Jessica. Jessica, ce serait "ma femme de Facebook" si ce qu'elle disait quand elle est pompette comptait. Alors je crois que notre couple a atteint la maturité, bientôt les noces d'acajou, et c'est pas des noix. Mais ça ne compte pas. Donc quoique je dise, ca ne compte pas.


.:. le constat du matin
On a passé quelques minutes chez moi seulement et ils m'ont tout retourné: le sol est dégueulasse, un immense panneau "interdiction de stationner" trône dans mon salon, le tabac était plein de cendre. Pis, on a touché à ma crème hydratante. Je dois me confesser, j'ai péché hier soir : j'ai fumé une chicha avec un charbon... de hollande. Je présente mes excuses à ceux qui m'ont initié à ce plaisir. Nie wieder!

"Made in Holl... M.E.R.D.E."


.:. l'espoir du jour
J'ai réservé une table, ce soir 20h30, dans ce resto qui n'a jamais voulu me recevoir: "on est complet", "Pas plus de 2 grandes tables" et le culoté "inventaire". Ainsi va (peut-être) se clore une bataille de plusieurs années.


mardi 18 novembre 2008

Leçon de vie

- les traits durs, les mains jointes -


Je tombe par hasard ce soir hier sur un documentaire dédié à Françoise Dolto... Non, ce n'est pas seulement la mère de Carlos. Et il n'y a pas longtemps, j'ai bloqué sur une citation made in Dolto:

"Le seul péché est de ne pas se risquer pour vivre son désir".

Pardon les enfants, je ne mets pas la phrase en gras (comme mon clavier) mais elle vient juste de toucher la vérité du doigt en prononçant ces/ses mots. Dolto est naïve comme une pédopsychiatre mais elle est juste. Elle est un peu l'équivalent de la règle de trois en maths: basique et utile toute la vie. Le jour où elle a écrit ça, elle ne s'est pas levé pour rien et y a cristallisé les maux de notre société - d'hier, d'aujourd'hui et de demain certainement.



.:. L'oppression collective
Le mal a un nom: société. Je ne vais pas entamer un discours d'extrême gauche, loin de moi l'envie de passer le 1er mai 2k9 à vendre du muguet le long de la N53. Je parle de notre société de doux cinglés, où l'on a la volonté d'être dans la norme, tout en la dépassant. On cherche "amour, gloire épanouissement et beauté" tout en s'épuisant à courir après - in english please - "hardcore sex, extra money &... beauty" :/ Rah le regard des autres, je vous jure.


.:. Se risquer
Pas grand chose à dire la dessus sans tomber dans le mélodrame personnel. "Risquer", je connais. "Me risquer", c'est déjà plus rare dans mon Wortschatz. Le pronom rend le verbe tellement plus féroce, on sent d'un coup qu'il y a de l'enjeu et ça devient un peu à la vie/à la mort. Se risquer, c'est se mettre en danger, s'engager dans une situation où le résultat va compter et laisser des traces, bonnes ou mauvaises. Pour longtemps, pour tout le temps.


.:. Vivre son désir
Référence à la vie, donc à la mort, un concept récurrent dans les analyses de Dolto - d'après le reportage. Pardonnez-moi mais je ramène Dolto sur Terre le temps d'une autre citation, en Birmanie plus exactement, au côté de notre ami Rambo, la Dolto bodybuildée des années 2000: "Je préfère mourir pour une cause plutôt que vivre pour rien."
Petite (enfin grosse en fait) différence, Rambo "vit pour" alors que Dolto "vit". Elle ne dit pas de "vivre pour son désir", mais "vivre son désir", l'incarner dans la vie de tous les jours, le transpirer, le respirer, et surtout ne pas le subir. L'essentiel est de vivre sa vie d'abord, parce que ça fait du bien à tout le monde ensuite - il s'agit donc bien d'une leçon de vie collective et pas d'un relan puant d'individualisme.



.:. En conclusion, l'ouverture
Précise comme le trait d'un compas, pénétrante comme une flèche en plein coeur, Dolto, tu m'as eu. Argh j'ai mal. Des heures et des heures de réflexion depuis que je t'ai lu et un constat: j'aimerais pouvoir dire que je vais mener ma vie pour vivre mes désirs, mais le poids de l'éducation (protestante, entre autres) se fait sentir sur mes épaules: cette éducation qui me permet de me "normer" pour mieux m'intégrer et évoluer en société, celle aussi qui m'apporte ce trait de lucidité qui m'ôte tout espoir de changer ma vie, pour vivre comme on se le doit. Un carcan.
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La vie vaut d'être vécue, mon amour.

lundi 17 novembre 2008

And CNN said: "We are under attack"

Je viens de passer à 2 doigts d'inventer "l'attentat" sur facebook.

Pff je suis deg', ça n'a pas marché. Je ne vous explique pas les modalités de la chose, je ne dévoilerai mon mode opératoire que lorsque je serai passé à l'acte. Mais j'ai des complices, un réseau invisible. Mouahahahahaha (rire de mégalomane)

Pff je suis deg'.

Enfin bon vous inquiétez pas, le principe de l'attentat, c'est de ne s'attaquer qu'à des "inconnus", qui passent au statut de "victimes collatérales" après les "évènements".

En fait, les attentats c'est surtout une histoire de guillemets je crois.

dimanche 16 novembre 2008

Operation "Put da Grand'Motha(fuckin) Brasch online!"



Calibrage des propulseurs: OK.
-
Vérification des capteurs : OK.
-
Mise en route des sondes gyroscopiques.
-
Variateurs cellulaires: ON.
-
Décompression des sas: OK.
-
Check Sécurité terminé.
-

La mamie est attachée: double ceinture de sécurité bouclée, harnais de sécurité fixé. La combinaison hyperespace est enfilée, le casque est bien vissé, oxygénation maximale. Aucune chance que la vieille n'échappe à son destin.

Mise à feu en préparation.

Réacteur 1... enclenché.
-
Réacteur 2... enclenché.
-
Réacteur 3... enclenché.

Compte-à-rebours mise à feu.

5
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4
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3
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2
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1
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Feeeeeeeuuuuuuuuu!!!!!!!
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- Alors mamie, voilà écoute, le plan il est très simple... -


- Le profil de Cléopâtre -


-Regardez moi dans les yeux. J'ai dit dans les yeux -


- Femme qui rit, femme à moitié dans ton lit -


Kourou, we have a problem. L'opération "Put da Grand'Motha(fuckin) Brasch online!" est un succès.

Comme quoi, il suffit d'une seule mamie à un mariage pour faire délirer toute le bande.

samedi 15 novembre 2008

2 news valent mieux qu'une.

Chers lecteurs, les news sont interchangeables, Please feel free to start with News #2 si vous voulez.


News #1
Je suis en mode régressif en ce samedi: muesli, chocolat aux noisettes, schtroumpfs. Presque d'humeur dominicale.

News #2
Je lis le dernier billet de monsieurlam.com. Je pouffe de rire sur un commentaire, je vois qu'il y a un lien vers le blog de la personne en question. Je clique sur le lien, c'est une nana apparement, elle est peut-être bonnasse... je drag down à l'affut d'une photo. Tiens en voila une... Moche, le curseur prend le chemin le plus direct vers le bouton "page précédente". Clic.


jeudi 13 novembre 2008

5 fruits et légumes par jour

Au menu du jour:

Bagel
Dragibus
Corny
Chewing-gum mentos
Côte d'or mignonette

Et puis hydratation au coca et café.


Enfin bon, j'ai glissé "Corny" en milieu de liste et je suis sûr qu'aucun d'entre vous n'a réagi. Alors je répète: CORNY!!! putain c'est bon ces trucs.

Bon et puis - à billet sans intérêt, vidéo youtube.




Ce moment où il se tient au toit du van, priceless.

mercredi 12 novembre 2008

(Dis)Connected

Un peu de news sur ma vie tragique dans le monde des telecoms.

Je viens de déballer mon nouvel iPhone - après avoir passé 4 lamentables jours sous blister pour cause de pas de temps - et du coup je découvre que j'ai envoyé mon dernier email le 18 mai à 2:32

Une photo avec une pinte de bière et 3 mojitos plus la gueule d'Aurélien. En guise de texte, ces quelques mots: "Yeah bébé Yeah. Just a souvenir." Je ne croyais pas si bien dire: je me lève pour aller pisser, je reviens, et l'iPhone - stupidement oublié sur le bar, je le concède - n'était plus qu'un souvenir.

mardi 11 novembre 2008

N'importnawak

Verdun, un jour de Novembre 1916.

Bloqué dans un trou de 2 mètres de diamètre, creusé par une bombe allemande. Putain c'est con quand même. Depuis quelques semaines maintenant, on reprenait le dessus sur les Friedolins, à regagner du terrain.

Et voilà qu'aujourd'hui je me retrouve coincé, seul, dans un trou humide, allongé pour éviter les balles qui sifflent, les mains scotchées à mon fusil. Bienvenue à Verdun. C'est con mais "mon séjour" en Meuse m'a fait croire en Dieu. Parce que c'est un carnage, parce que je vis, encore. Alors je prie. Je prie pour que les allemands qui battent en retraite ne me voient pas allongé, et puis aussi pour qu'aucun d'entre eux n'ait l'idée de jeter sa grenade à manche dans mon trou.

En même temps, ce qui est bien à Verdun, c'est que la pluie ne laisse aucun répit aux hommes et à la terre, alors on est tous dans le même bain de merde, la boue nous coule jusque dans les yeux. Ça pique au début mais on s'y fait, par contre, tu t'imagines bien qu'on ne voit presque rien. Alors si je reste tranquille dans mon trou humide en attendant que les teutons se cassent et que mes renforts arrivent, ça peut le faire. Je pense à Pierre, Bernard et Gérard qui sont morts il y a quelques mois, un peu comme ça, isolés du groupe, à attendre que ça se tasse parce que se lever, c'était se coucher 2 secondes plus tard. Se coucher à vie parce qu'on est mort.

Alors je suis là, dans mon trou, "mein Loch", et je me dis, et je me dis
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"Putain mais pourquoi j'ai oublié ma DS dans la tente!!!!!!!!!!!"

dimanche 9 novembre 2008

Crac! T.T je craque

Je viens de passer une heure et demie à encadrer le print commandé chez Threadless et livré par les camions couleur caca.

Une heure et demie à

.:. prendre les mesures du cadre, du passe-partout et du print lui-même
.:. découper soigneusement à l'aide de ma paire de ciseaux de maternelle et mon couteau de cuisine - délicatement essuyé afin de ne pas laisser de trace de la tarte à la tomate d'hier soir
.:. rayer mon carrelage parce que j'avais rien mis sous la surface à découper
.:. éliminer toute poussière sur le cadre, la plaque en PVC, le passe-partout et le print à l'aide de mon chiffon micro-fibre
.:. placer le print et le passe-partout au millimètre
.:. fermer les taquets à l'arrière du cadre
.:. rouvrir les taquets pour recentrer le print
.:. refermer les taquets
.:. rouvrir/refermer, rouvrir/refermer je vais péter un plomb rouvrir/refermer, rouvrir/refermer, je vais péter un plomb... rouvrir/refermer... 2 taquets ont pétés, rouvrir pour refermer et rien à battre des fucking 2 millimètres...
.:. tendre le fil de fer
.:. constater que tout est au point
.:. chercher les clous

Le grand moment arrive, face au mur, l'impression d'avoir fait quelque chose de mon dimanche, l'euphorie de la victoire monte en moi. Un dernier regard au tableau... mais?!... qu'est-ce que c'est que ça?!... Mon PVC!

U.N.E. P.U.T.A.I.N. D.E. F.E.L.U.R.E.............. T.T

Fêlure / Failure


samedi 8 novembre 2008

My name is Mike Skinner

Vendredi 20h, rendez-vous avec les amis Geo, Jay & Seb - soirée prénoms à 3 lettres - devant la salle où va se produire The Streets. J'avais vaguement écouté les albums que Geo m'avait filé, mais plus pour remplir l'espace de l'appartement avec un fond sonore autre que celui du chauffe-eau de merde.

Derrière le nom de scène The Streets se cache Mike Skinner. Mais qui est donc Mike Skinner?


Des cheveux rasés, un crâne bien rond, le nez "en boule", des petits yeux un peu enfoncés, des oreilles décollées, une machoire bien marquée... Tout l'attirail de l'holligan anglais, avec lequel il ne partage pourtant que la nationalité et la capacité à mettre le feu au stade.

The Streets, c'est ce son à l'anglaise, difficile à classer dans les bacs de nos Fnac françaises, qui trouve ses influences dans le rock evidemment,mais aussi le reggae en passant par du pur "peu-ra" et l'électro. En fait, c'était bien UK Garage tout ça, j'ai eu des frissons plusieurs fois, un peu transporté par l'ambiance et le son. Cheers, quand tu nous tiens...

Faut dire que le black qui l'accompagnait à tout défoncer - encore que le terme "accompagner" n'est peut-etre pas le bon puisqu'il a chanté au moins autant que Skinner. Quelle voix putain... auquel s'ajoute le flow de Skinner: en rythme avec le groupe, puis en laid-back, puis à l'arrache, c'etait festival, il pose sa voix sur n'importe quoi, se libère du rythme imposé par les musiciens pour poser le sien par dessus.

Ce mec est complètement jeté aussi, ou plutôt perché vu sa tendance à grimper sur tout ce qui traîne: enceinte, projecteurs, rail suspendu au dessus de la scène, et le public évidemment. Pourtant, il avait l'air calme au début mais le pétage de plomb restait latent, comme une épée de Damoclès au dessus de nos têtes. Que va-t-il nous arriver? Que va-t-il nous faire?


Pétage de plomb à 4:00 - Skinner inventa le dawa.

Un très bon moment vraiment. Encore une fois, je réalise que voir les artistes en concert permet de redécouvrir un album, de le rendre plus vivant et d'y associer des bons moments finalement.

Can you hear me? Do you see me? Are you with me?

mercredi 5 novembre 2008

2 places

Les 2 places pour le concert de Jamie Lidell sont commandées.
J'ai bien une idée de qui inviter.

Je suis "assez persuadé" que je ne le ferai pas en fait.

dimanche 2 novembre 2008

Dancing machine

On continue avec les américains... Attendez l'arrivée de McCain après le première minute. Mention spéciale à ce mouvement au sol à 1'35 puis à la petite démo de krump à 1'55.

alcool & esthétique

Un truc qu'on apprend toujours trop tard dans la vie, c'est que l'alcool trouble nos repères en matière d'esthétique. L'épisode du réveil dans le lit d'une amazone pas terrible le dimanche matin après une soirée arrosée, tout ça. Enfin moi ça ne m'ait jamais arrivé hein, je ne sers que des canons.

Ben ce matin j'ai un peu cette impression en voyant ce plafonnier Ikea fixé au plafond de mon salon (depuis hier après-midi, 2 heures de rudes efforts). L'alcool ingurgité hier soir devrait m'aider à le trouver beau, ou moins moche, mais le seul commentaire qui me vient en le regardant présentement, c'est "toi... tu vas gicler."


*** le petit update 15 minutes plus tard***
Ce plafonnier va gicler, oui, mais dès que j'aurai retrouver mon sens de l'équilibre pour monter sur le tabouret. Rah l'alcool, c'est fendart quand même...


***la petite photo qui illustre***
Prise pendant "les travaux", en attendant que je trouve le courage de mettre en ligne le résultat. Ceci dit je confirme ce que j'annonçais ce matin, le plafonnier a giclé.

samedi 1 novembre 2008

Je prends la main.

Je t'en prie Julien, nous t'écoutons.


Top c'est parti:
Membre emblématique du pas cap' crew, je mange du kebab en me foutant de la gueule de la Turquie et ses habitants. J'organise des concours de tcheesebeuhhrrgerzz après avoir fait ingurgité 3 litres de bières à mes camarades.

Diplômé d'une sombre école de commerce, j'avoue avoir privilégié ma chicha aux mathématiques financières, "c'est juste pour la déco" ai-je dit un dimanche midi à mon père cardiologue - et ça, ça mérite sa brève de comptoir un de ces 4.

Amateurs de voyage, vous pouvez me voir sur un voilier au large des côtes, en avion direction "l'autre côté de l'eau", sur un vélo, en 4x4 à la recherche du grizzly légendaire, ou encore à bord d'une 205 rouge à la porte conducteur foutue.

J'ai offert un bébé élan à mon pote Guérôme de Thionstadt pour Noël 2k8, mais la vraie nouvelle - roulement de tambourin - c'est que je suis bientôt Daddy et que j'apprendrai au mioche qu'avant de rentrer chez Yzmir on n'oublie jamais! de caresser la tête du nain. Je suis je suis...


Un grand taré - oui, c'est sûr.


Brèves de comptoir

"Merci moi."

La réceptionniste russe, au squash

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