samedi 28 février 2009

Première leçon de moto: déjà l'heure du bilan.

#1 - Ne confonds pas ta moto avec ta voiture
C'est con, donc essentiel. La différence est plus grande qu'on ne le pense.
Ce que tu sais:
a. pas de moniteur à proximité pour rattraper les commandes si tu fais de la merde
b. je suis sur circuit - chouette, il n'y aura qu'un blessé: moi!
Ce que tu découvres:
a. l'embrayage est très, très, mais alors très sensible.
b. le frein freine. On ne laisse pas la main dessus comme le pied sur le frein de la twingomobile. Et 2 doigts, juste 2 doigts, ça suffit. La moto, c'est sexe.
c. tu tombes. tu te fais mal, et tu sors du cours avec un genou égratigné.


#2 - Le frisson du danger
Tu enfourches la moto et là tu te dis: "Ayé. je suis un vrai bad boy." Pas de carénage, pas de pare brise, pas de ceinture. En revanche, tu as une machine de 250 kg qui développe 600 cm3, un réservoir d'essence prêt à te péter entre les cuisses, un rétro qui te permet de contrôler ce qui se passe derrière toi mater ton épaule en permanence. ssssssssssssssssssshh tu le sens le danger là?


#3 - I believe I can fly
I believe I can touch the sky. hum... R. Kelly tu sors... Quelle incroyable sensation! Viens, je t'emmène faire un tour.


#4 - I believe I can cry
Le premier axiome du motard est le suivant:

Virage + frein = gamelle

La règle est simple et tu ne peux t'y soustraire. Ce qui est un peu plus difficile, c'est de ne pas freiner quand tu arrives trop vite dans le virage justement. Fermer les yeux, se pisser dessus ou ignorer l'obstacle qui s'approche en espérant que l'obstacle t'ignore aussi. J'ai personnellement essayé de faire mentir cette équation ce matin. Alors j'ai couché mon raisonnement... sur le macadam. Bien couché, jambe droite sous la moto, le coude planté dans les côtes flottantes, tu vois.


#5 - Premier cours: "Tu es complètement taré, va falloir te calmer!"
C'est le prof qui m'a dit ça, et ça me rend fier. Et il ne m'a pas encore vu arriver au McDrive sur la roue avant, les fesses sur le réservoir: "Yeah baby, ma bécane te fait fondre le Sundae dans ta culotte en coton avoue!"


vendredi 27 février 2009

L'iPhone et moi.

Bon. Ben j'espère qu'Apple va vite fait nous sortir la version 3 de leur iPhone...

iPhone v1 : Lost
iPhone v2 : Big Bang (Theory)
iPhone v3 ? ... How I m...

J'étais un peu triste, et puis après j'ai vu ça. Et là je suis carrément dégouté.





Putain ça me rappelle cette photo où ma sœur et moi sommes sur notre pupitre en bois - ouais ouais j'avais un pupitre en bois mais pas moyen de négocier la base Mask - en train de torcher des gribouillis sur nos feuilles de dessin. J'avais du Nutella au coin de la bouche et un regard qui disait "j'ai rien compris à la life".

Maman - le pupitre en bois, fallait mettre des platines bordel!!!

mardi 24 février 2009

Et pendant ce temps...

... à la Havane.


Lui Donde la telecommanda?
Elle Porque?
Lui Para escouchare los candidados de La Nouvelle Star pardi!
Elle No touchare la telecommanda!! Vuelo regardare Messi en la TF-Un
Lui Que? Regardare Futchebol?
Elle Si! Messi > La Nouvelle Star
Lui Stopito racontare les coneri
Elle Les coneri esta la Mou6 y sou programmacion!!
Lui Escucha meh Seniorita! Decapsoulito la uno-seis-seis-quattro et facho pas chié!


Et ils regardèrent M6. Jusqu'à la pub. Une fois Pedro endormi, la Senorita zappa sur TF-Un.

dimanche 22 février 2009

Une lettre, un chiffre: K7

Ceci n'est pas une K7


Ce sont des perles, faites main, confectionnées à la fin des 90's, les années lycée. Ni blanches, ni rondes, mais franchement carrées et noires. Le son est assez particulier, moins fidèle que sur un CD mais le charme agit: un souffle permanent, des basses chaudes et ces breaks rythmiques qui te font prendre le chemin du dancefloor.


Et au delà de ça, c'est aussi
.:.des images qui reviennent: allongé dans l'herbe, le soleil brille, entre 2 cours
.:.des gestes oubliés: le bic pour rembobiner la cassette
.:.des silences inévitables: ce moment où l'autoradio change de face
.:.le top de la technologie: Aiwa avait produit THE walkman à l'époque
.:.une douleur: les 2 écouteurs les plus inconfortables du monde
.:.le pire: cette pub pour "Armageddon, disponible en vidéo, à la vente et à la location"
.:.et le meilleur: Better days reçoit "Respect is burning" :) Et Emilie qui y chante en live.

C'est des frissons non stop depuis une semaine, les bras en l'air évidemment, la twingo est devenue une discomobile.
Mais où j'ai mis mes Doc Martens?

samedi 21 février 2009

L'opération "McDrive à moto" est lancée

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et il était temps, j'avoue.

Key Investment

Friendship is the most valuable investment you can make.


jeudi 19 février 2009

118 218 - Les renseignements

"Bonjour. Gérard, 43 ans, maçon à Besançon. Alors voila: j'ai enfilé ma canette de kro et décapsulé ma femme. Elle ne répond plus, qu'est-ce que je fais maintenant?"


mercredi 18 février 2009

L'étrange histoire de Benjamin Button


2h35 se passent entre la naissance et la mort de Benjamin Button. "Trop long" disent certains. Il aurait pourtant été dommage d'écourter une réflexion sur le temps, par manque de temps.

Alors allez-y en amoureux, en prenant votre temps, laissez filer les séances sans toutefois rater la dernière. Moi, il y avait longtemps qu'on ne m'avait pas raconté une histoire.

mardi 17 février 2009

Une histoire de fromage

Lundi, j'ai été nul au badminton, mais alors vraiment nul. Et je ne comprends pas pourquoi. J'avais pourtant suivi une préparation physique diététique tout au long de la journée:

1. Minute Maid multivitaminé au petit déjeuner
2. Salade de fruits frais à midi
3. Corny aux céréales à 16h.

Ça doit être le mental. C'est ça. Le mental.

dimanche 15 février 2009

Les mulets au resto.

Pour fêter ma promotion, quoi de plus normal que d'aller manger chez Roger Hanin.

vendredi 13 février 2009

Pas tres fier de moi ce soir.

C'etait le dernier jour du contrat d'une membre de mon equipe aujourd'hui. La crise s'est bien fait sentir: impossible de renouveler -encore moins d'embaucher- une jeune bourrée de talent.

Apres les discours, il y a eu les gorges serrees, les yeux rouges et quelques larmes. Ma chef est une grande sensible. Il y a eu Iceman aussi - mais il fallait bien quelqu'un pour l'accompagner vers la sortie. Toujours est-il que je n'en mene pas large depuis. Comme souvent, cela se traduit par une mini deprime et une grosse fatigue.

Je ne suis pas fier de moi car je doute d'avoir mis les bons elements sur la table pour justifier la prolongation du CDD. Et puis je ne suis pas fier de la boite pour laquelle je travaille ce soir. Sortir de la crise, ce n'est pas qu'une question de gestion passive de budget (en gros de baisse des depenses), c'est aussi la gestion active des talents, cette ressource qui s'exprime le mieux en temps de crise. Bref.

Tout ca pour dire qu'un jour j'aurai ma boite et qu'on y creera des valeurs en meme temps que de la valeur. Tout en faisant de la merde, bien evidemment.

Je vous embrasse. Bonne Saint Valentin dans un monde en crise.

Tgv est once again

Le mec en face de moi vient de sortir de son sac... Roulement de tambour s'il te plait Stewart Copeland... Un lecteur CD portable! Rien que de l'ecrire j'ai des doutes si ca ne portait pas un autre nom.

***Update de 21h30***
J'ai decouvert à la descente du train que Natalie Kosciusko-Morizet était à bord. Pour info, on peut la reconnaitre de dos. Lecon de transparence politique. Anciennement secretaire d'etat a l'ecologie, on notera que son travail porte ses fruits: maintenant il neige de nouveau en hiver.

mardi 10 février 2009

Samedi, dans le TGV Est

Samedi dans le TGV Est : triste constat dans mon carré. Une maman quadragénaire aux traits tirés en face de moi, un papy marocain chic comme un nabab en diagonale et une jeune femme que je peux difficilement décrire puisqu'elle est assise à ma droite, hors de mon champ de vision. Tout pour se faire chier a priori, mais c'était sans compter sur la petite tête blonde assise dans le carré opposé, de l'autre côté du couloir.

La petite fille, 6 ou 7 ans à mon avis, portait fièrement sa frange. Sa maman avait sûrement vu ça dans Cosmo et s'était dit : "Viens chérie, on va chez le coiffeur!" La frange avait cet avantage d'être à la fois à la mode, mais aussi un bon moyen de cacher ce front assez grand, sans être moche toutefois. Il s'y cachait derrière un esprit vif et bien construit, prêt à élaborer des concepts enfantins mais totalement pertinents, bref, un véritable cauchemar pour professeur des écoles. Ses cheveux longs et blonds étaient attachés selon le principe - vieux comme le monde je crois - de la queue de cheval, et chaque hochement de tête était l'occasion d'une ruade capillaire. Ses petits yeux marrons te souriaient à la gueule et pleuraient la malice et la vivacité.

A l'opposé de cette présence qu'elle dégageait, il y avait moi. Opposé tant "géographiquement" puisque je suis pile poil de l'autre bord du train, que dans l'attitude: scotché à la fenêtre, je regarde le paysage défiler, hypnotisé, que même Tatayé il vend plus de rêve. Les chahuts de la petite diablotine ne sont qu'un bruit de fond rassurant.

Pour la calmer, son père essaie d'attirer son attention sur l'extérieur: "Regarde! Un chasseur!". La petite bloque. Après quelques instants, elle annonce la couleur: "S'il glisse, son arme peut tirer et me tuer d'un seul coup."

Pour le coup, c'est à Papa que tu viens de mettre une balle entre les deux yeux. Il regrette, c'est sûr. Un pêcheur aurait sûrement fait une meilleure affaire. Mais Papa a pris ce qu'il avait sous la main, et là, c'était un chasseur dans un champ qui , s'il glisse, pouvait donc tuer sa fille. Dire ça à 7 ans avec le sourire, quand on pratique encore la récréation... Paradoxe, quand tu nous tiens.

Comme il faut bien passer à autre chose, Papa encourage sa fille à dessiner. Les feutres dans la main droite, la main gauche pour caler la feuille Canson; c'est ti-par pour une série de figures géométriques. Et maintenant que nous avançons à 300 km/h sous une neige battante, rares seront les occasions de trouver un sujet de discussion en rase campagne.

Papa choppe un feutre et commence à faire carré, croix, ovale et triangle. L'occasion d'un dialogue délicieux:

Elle: "Mais non Papa! il faut reproduire les formes que tu vois sur l'autre page."
Lui: "Ah bon? d'accord."

...2 secondes de silence...

Elle: " Papa?"
Lui: "Oui ma chérie?"
Elle: "C'est chaud pour tes fesses là!"

Lovely.

Définitivement conquis, j'ai pris les références du modèle, on sait jamais, ça peut éventuellement servir un jour. Ca me rappelle que j'ai pris le train avec Sophie Marceau la dernière fois. Je ne vous ai pas raconté encore? J'y remédierai un jour.

Putain de neige.

La twingo avait les 4 roues dans le bas-côté aujourd"hui. J'ai plié un poteau en bois d'ailleurs, mais la voiture n'a rien.

J'ai frôlé la mort si ça se trouve; Putain de neige. "Achète toi une voiture plus lourde" m'a dit Mutti au détour du débriefing. Fix, si tu me lis...

Du coup je me rends compte que je dois laisser une trace dans l'Histoire avant de partir. Mon vecteur pour y parvenir sera le "Cordon bleu aux légumes frais du jardin". Une légende qui fait parler, pas vrai?

Places limitées, réservez vos couverts!

dimanche 8 février 2009

L'école de commerce, ce truc que tu payes toute ta vie.

J'ai déballé ma valise du ski. Oui, depuis décembre, elle trainait encore à côté du lit.
J'ai fait le tour de ma blog-roll.
Je viens de payer ma cotisation Essec.
Je vais lancer ma machine à laver.

Rien à manger, rien à faire: c'est ti-par pour le dimanche de merde!



***Update***

Que peut bien faire Barney Stinson un dimanche?




jeudi 5 février 2009

Ce soir, Monsieur le Président de la République est à la télé.

Et en fait ça me rappelle la fois où je l'avais croisé sur l'île de la Jatte, il y a quelques années, je ne sais plus exactement quand.

C'était un dimanche matin en tout cas, j'étais allé courir avec mon père et ma sœur. Comme tous les dimanches matin à l'époque. C'est là que nous avons vu un bonhomme plutôt tassé, les lunettes de soleil sur le bout du nez, qui marchait à contre-sens sur la route, en longeant le trottoir. Nous n'avons pas mis longtemps à le reconnaître.

Cette image, c'était pour moi celle de l'homme en pleine traversée du désert. Il s'était planté avec Balladur, en résultait une mise au placard dans son parti et il ne lui restait que la mairie de Neuilly à se mettre sous la dent. Un peu maigre pour l'appétit d'un conquérant. Il devait ce dimanche déjà songer à sa résurrection politique et la préparer: écouter, lire, débattre, écrire, convaincre. Et marcher donc.

Un homme pas tout à fait seul cela dit. A sa droite - comme quoi - marchait son chien. Tu parles d'une compagnie: la démarche pataude, ce labrador était de ces bestioles dont on se demande comment les fines pattes peuvent porter un corps visiblement trop lourd. La peau en excès sur sa gueule lui tirait les traits vers le bas lui donnant des faux airs de Droopy : sympathique, attachant, le tout sans effort puisque le lascar est un gros branleur. La graisse s'accumulait sur ses flancs, et la combinaison de son poil doré avec les rayons du soleil laissait naître des reflets contrastés se baladant de bourlet en bourlet, au gré du rythme de ses pas. Lent, le rythme. Plus qu'un chien, être au côté du futur "Sarko" à l'époque tient de l'image d'épinal : c'était lui le meilleur ami de l'homme.


Nicolas, Cécilia, Pierre, Jean, Judith, Jeanne-Marie, Carla. On en aura entendu des prénoms quand ca parle des Sarkozy. Mais le nom du chien, ça, on peut se brosser.


mardi 3 février 2009

BRTN SPRS



MGMT. Soit la contraction de The Management. J'ai acheté ce CD il y a quelques temps, et plus qu'un album, c'est bien LA proposition musicale la plus excitante actuelle. Inclassable mais pas inaccessible pour autant. Loin de là. Entre hippies post-apocalyptiques et fluokids primitifs, Andrew VanWyngarden et Ben Goldwasser opèrent dans leurs chansons un ébouriffant va-et-vient entre psychédélisme 60's, rock aventureux 70's et percutant second degré électro-pop contemporain.
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Non en vérité je l'ai toujours pas écouté. Merci à Télérama pour la critique et désolé pour le pomme C/pomme V. Si je l'ai acheté à la fnac, c'était surtout pour cacher ça.


Come on Britney, gimme more!


Voui, j'ai des comportements bizarres lorsqu'il s'agit de passer à la caisse. Un peu honteux, je ne pouvais me ballader dans les rayons de la FNAC en brandissant cet album aux yeux de tous. La raison tient en un mot: la honte.

Par contre je l'ai écouté - le blister ne m'a pas résisté plus de 2s. Verdict : grosse daube. Peut-être que quelques écoutes s'imposent avant de pouvoir l'apprécier, mais dans l'immédiat, ça me parait plus tenir de la torture.

BRTN SPRS, YR LBM SCKS!


dimanche 1 février 2009

Review 2k8

En me retournant l'autre jour, je me suis trouvé nez à nez avec l'année 2008. Comme ça, sans prévenir, bim dans ma face. L'heure d'un petit bilan contourné jusqu'ici...



Alors il est vrai que mon objectif premier était professionnel. J'ai travaillé dur pendant 12 mois pour tenter de décrocher une promotion en fin d'année. La "crise" qui a bon dos, quelques péripéties, mais ça l'a fait. Si elle est tombée en Janvier 2009, elle reste néanmoins le fruit de l'année 2008. Et si cette promotion était un fruit justement, ce serait une framboise. J'adore les framboises. Alors je la déguste en ce moment, et je réfléchis à mes prochains objectifs. Je vous tiendrai au courant ici, en attendant, c'est la régalade.



J'ai vu New York en 2008. C'est haut putain. Après consultation des archives du blog, je me rends compte que je n'ai pas fait une vraie review du voyage. Sûrement trop de choses à raconter, certainement la peur de transformer la chose en "soirée diapo". Je ne vais donc pas refaire le voyage ce soir... J'y retournerai un jour, et peut-être que j'y trouverai mon NYC à moi, celui qui aura sa place sur ce blog.



J'ai passé pas mal de temps avec mes amis en 2008. Enfin c'est mon ressenti. Je me souviens même de 2 ou 3 moments l'année dernière, où cela m'a fait bizarre de me retrouver seul. Oui, vous entendez bien. Nous nous fréquentons différement que par le passé. J'en vois certains beaucoup plus souvent que d'autres, mais j'y prends toujours le même plaisir. Si on devait trouver un fil conducteur à mon cercle d'amis, il n'est pas flagrant, ça part dans tous les sens. Pas de "meilleur ami" non plus, je n'ai jamais adhéré à ce concept, et puis la chanson de Lorie me donne raison: c'est assez niais quand même. Pas de meilleur ami donc, mais mes amis sont les meilleurs, en toute simplicité. Je l'aime mon cercle d'amis à géométrie variable.



On aura perpétué le dimanche soir mcdo & créé le Saturday Noon Chicken. Le premier est un peu mon rayon de soleil de mes dimanches de merde. Il sent la friture mais on y rigole bien. Le menu Golden est aussi mon indicateur de l'inflation, car bien plus représentatif que le panier d'achat utilisé par l'INSEE pour faire ses statistiques. Bref, c'est un peu un palier de décompression après Drucker et avant le réveil du lundi matin. Quant au Saturday Non Chicken, j'en reparlerai plus tard car il mérite son article et son groupe sur facebook, et puis son format se prête à l'élargissement des invités. En tout cas, en 2008, il nous aura permis de rattraper ces moments que l'on peut perdre en semaine quand nous sommes tous pris par nos vies.



Alors voilà, ce n'est pas une image exhaustive de l'année, mais pour y trouver du positif un dimanche soir, ça devait être une putain de bonne année. J'élude forcément des mauvais moments, mais j'élude aussi le meilleur, par équité. Et par pudeur.

2009, here I come.


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