Tordons le coup à ces mythes #1 - Le Surfeur

Attention ennui en vue

Grand, blond, les yeux clairs, la peau dorée, des muscles saillants, le sourire bright. Les filles, reliser ces 3 lignes matin midi et soir, tous les jours si vous le souhaitez, ce sera comme vivre avec un surfeur: il n'a pas grand chose d'autre à offrir.


Alors le surfeur (se) nourrit (de) 2 choses: le style & la poésie. Pouet.

Bon le style ça va vite: un short long (oui, paradoxe), des sunglasses, les tong havabanananananaias, un petit bracelet usé et les jours de fête on sort la combi en néoprène qui va bien. Le monde du surf nous livre régulièrement ces tendances qui migrent de la plage au centre ville. Car sous les pavés, la plage paraît-il.


La poésie, c'est plus long: face à la mer, le regard perdu au loin, à guetter la vague pendant de longs moments. Mais looooong le moment hein. A tel point qu'on se dit qu'il doit y avoir quelque chose à l'horizon, c'est pas possible. Alors tu regardes comme lui, comme un surfeur... Comme un con en fait. Ça ne rime à rien, c'est ça la poésie du surfeur.


Le bilan: quel ennui les filles... sachez en plus que le surfeur se couche à 22h pour choper la première vague à 5h du mat - en voila qui sont contents que le film de France 2 finisse à 22h, au moins ils voient la fin maintenant.
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Bon ok, j'aimerais bien essayer un jour.

Les 2 grands "Fail" de ma vie.

Il y a 2 choses qui me pourrissent bien la vie.

La première, c'est qu'écouter de la bonne musique me donne inlassablement une envie de passer l'aspirateur.

La deuxième, c'est que le goût du dentifrice m'ouvre l'appétit pour les sucreries et autres saloperies.

Brèves de comptoir

"Rah nan! J'ai tout dépensé dans mes nouvelles lunettes de soleil!"

Seb, à la nana de la Croix Rouge qui collectait des fonds.

Dites "33"

Je regarde le Magazine de la Santé en ce moment même sur France 5. Je crois que je suis malade. Saloperie de col de l'utérus.

"Et la moto? t'en es où?"

J'en suis sur le cul de ta mère... voui je sais, ça ne répond pas à ta question.

Bon je crois que j'ai zappé de parler du permis moto ici même. Plein d'aventures pourtant, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai fait l'impasse sur le blog et je vais le regretter ça aussi.

Alors de chutes en calages, j'ai progressé et mon prochain cours devrait être le dernier, si la préfecture daigne donner les dates des prochains examens. Je crois que mon moniteur a hâte de me voir quitter le plateau parce qu'il apprécie moyennement mes bloquages de roue et puis aussi mes wheelings sur la roue avant. Je ne le fais pas exprès moi, promis, juré et craché (dans le casque).

C'est pour bientôt donc, il ne me reste plus qu'à poser mes autocollants réfléchissants tout moche sur mon casque déjà rayé. Ouais on m'a offert des autocollants réfléchissants pour mon birthday, la classe mondiale. Sinon toi ça avance le permis poids lourds?

Bienvenue chez Monsieur Ringard

Photo de famille

Anniversaire, crémaillère, soirée,... ma petite collection de "cadeaux pourris" s'agrandit avec le temps. Les puristes s'exclameront que la photo de famille n'est pas complète puisque manquent à l'appel l'escargot (là en vidéo et là en morceaux) et "Bubba the fish", que peu d'entre vous ont connu, ce poisson d'importation dont on a essayé de comprendre pendant une soirée ce qu'il vomissait à chaque fois qu'on passait devant - mission inachevée, la faute aux piles fondues T.T

Pour la première fois, ma soeur s'inclut dans ce projet - à la différence qu'elle ne parle pas de "cadeaux pourris" mais de "cadeaux... intéressants dis donc!". Pour mon anniversaire, elle m'a envoyé ces 2 petits chats et éléphants issus du commerce équitable. Le beau geste dans le mauvais goût, ce n'est pas incompatible pour ma soeur.

Vous étiez très nombreux à me féliciter hier, de ma soeur à 0h00 à Polo à 23h59 (mon dieu que tu as été cruel avec moi!). Alors je ne vais pas vous dire merci car ce blog est par définiton le panthéon de l'égocentrisme de son auteur, mais je vous avoue que je n'y suis vraiment pas habitué alors hier c'était du plaisir et aujourd'hui je suis touché en fait... Bande de vieilles rascasses, vous allez me le payer.

Feel the pressure

La poisse avait élu domicile dans ma vie ces derniers jours: la twingo qui joue à "je t'aime moi non plus" avec moi, le serrure de l'appartement qui lâche et puis 2/3 trucs à peu près aussi inintéressants que pénibles. Le drame a atteint son zénith aujourd'hui: je n'ai pas pesé mes tomates chez Leclerc...

Et 2 questions cruciales dans ma vie en ce moment:
1. Est-ce que je mets un réveil pour demain matin?
2. Est-ce que je dois me couper les cheveux?

J'espère y apporter les bonnes réponses. Comme vous l'imaginez, j'ai une sacrée pression sur les épaules, merci de votre soutien.

Mardi 19 Mai 2009 - 13h56

Ca va bien là tu vois.

Passe à ton voisin.

Dans la série "il m'arrive toujours des trucs au Drive", je demande la carte du dimanche 17 mai 2009.

Je fais la queue, et commetout le monde, je mate le rétro intérieur de la voiture juste devant moi: un homme. Je mate la passagère : une femme avec une tête super bizarre. Que ce soit dans la forme et dans la façon de la bouger, avec énergie, de gauche à droite, sans aucune coordination. C'est une fois qu'elle a sauté agilement sur la banquette arrière en aboyant que j'ai compris que c'était un chien, un sharpey. Bref.

Je commande après 5 minutes d'attente et j'arrive à la caisse pour constater que je n'ai pas mon porte-feuille :-/ On annule le menu Golden svp mademoiselle... Ca se rajoute à la liste de mes mésaventures de cette semaine: la twingo en rade, la moto sous la pluie, la serrure de l'appart fusillée etc.

10 minutes plus tard, le temps de filer récupérer la CB et de repasser la commande, j'arrive au dernier guichet et on me file "3 gourmandises et un coca, Monsieur".

10 minutes que l'étudiante décalait les commandes sans que personne ne s'en rende compte :) ta-da-da-da-da C'est tout ce que j'aime! I'm lovin' it! ich liebe es!

Et puis j'ai trouvé le programme de Mercredi sinon.

Dustin N'Guyen - Non mais la blague!

J'ai toujours rêvé d'être flic. Enfin policier. Le prestige de l'uniforme, la "plaque" - même si ce n'est en fait qu'une carte en papier glacé. Cette idée d'incarner l'ordre, vanter le bien et bannir le mal, ça m'excite assez bien.
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Nan. En fait c'est pour ce qui suit que j'aurais voulu être flic: le brushing, la veste en cuir, le flingue, la jeun's attitude à 30 ans, et surtout le saxo qui me fait frisonner.

Jaunit.

1+1+1= "Ouais putain"

Parmi tous les petits plaisirs de la vie, je compte:

- boire une bière dans un verre
- mettre n'importe quoi dans une casserole et faire un truc qui déchire
- dormir avec un jogging bien dirty sous ma couette

Et ce soir je cumule. Ouais putain!

Un rond-point, un nez et un mariage

En rentrant du boulot, je me demandais qu'est ce que je pourrais bien trouver pour ne pas raconter mon week-end mariage. Et j'ai trouvé.

Ce soir, je prends la dernière sortie du rond-point, j'arrive au drive et je fais la queue comme les autres. Je vois au loin la caissière de profil: elle a un nez de sorcière. Rien d'effrayant, mais au moment où elle me dit "bonsoir", je vois qu'elle a des dents de vampire. Depuis, quand je ferme les yeux, je voix un nez crochu et deux petits crocs qui brillent en dessous. Alors ça me change des feuilles Excel mais je sens que je vais faire des cauchemars et grincer des dents toute la nuit. La prochaine fois, je mange équilibré - faites péter la caisse de fruits et légumes.

Bon je vais être fair play, je vous donne quelques mots clés à la "sauce liste de mariage": crustacés, vent, coup de soleil, crêpes, champagne, dancefloor, untrucdontjenepeuxpasparlertoutdesuitemaiscavavenir, vahid halilodzic et pi' mariage quoi. Cherchez l'intrus. Ouais ok cette liste c'est un peu du vol mais c'est la crise...

Et en bonus, "Quand Johnny rencontre Johnnie".

"Meust tack revenche"

I will be back.

Je suis toujours en vie hein. Il a fait beau, j'ai pris des coups de soleil, j'ai ruiné mes pompes - les semelles sont nickel mais alors la pointe du pied, une épave. J'ai du lâcher ma tektonik trop violemment, je le paye cash.

Mais surtout on a tous marqué ce week-end d'une pierre blanche, car il va compter dans nos vies. Ca déchire.

Chez Orange, mais vert.

Au programme de ce week-end: mariage en Bretagne. La Bretagne, une region, une image.

Perdu.

On ira tous au paradis.

Rolala j'ai eu des bonnes nouvelles au taf aujourd'hui, le genre de truc qui fait que ce soir je suis surexcité à 22:11, avant de devenir paranoïaque à 22:15 en me disant "c'est sur, il va y avoir le retour de bâton et ca va faire mal".

Je vous raconterai bien mais là j'entends un bruit derrière la porte. Étrange. Des cambrioleurs dans le hall? A moins qu'ils ne soient déjà chez moi... je flippe... je crois qu'il y a quelqu'un dans mon dos... juste derrière... surtout ne pas me retourner... il ne m'attaque pas... il doit croire que je ne l'ai pas remarqué... c'est qu'il ne doit pas comprendre ce qu'il lit par dessus mon épaule... un gitan roumain peut-être... quoique j'aurais entendu les guitares et les chiens aboyer... un russe alors... un de ceux qui a une bonne tête d'enfoiré tu sais... allez je me retourne...



Ah non. Rien.

Et on n'a même pas fait la peau au Vélociraptor!

Ayé - j'ai participé à mon premier barbecue de l'année hier soir. Et le barbecue, c'est comme le vélo: une fois qu'on en a fait, ça ne s'oublie pas. En haut d'un immeuble, peu de chance de croiser un vélociraptor, pourtant on y croyait en "zyeutant" régulièrement les arbres en bas dans la cour. Mais rien.

Le tout s'est achevé au bar où on a pris nos petites habitudes, un peu trop sûrement puisque nous nous sommes aventurés sur le terrain dangereux dit "du cul de la serveuse". Messieurs, parmi les règles qui régissent la vie au bar figurent celle-ci: ne jamais commenter les fesses de la serveuse.

Et on a définitivement failli sur ce point hier soir/ce matin - d'autant que si c'est pour joyeusement gueuler que "Dis donc tu as grossi du cul toi!", on encoure des sanctions immédiates:

.:. La serveuse ne te sourit plus et fait du boudin derrière son bar.
.:. Crappy hour: le demi au prix de la pinte. Tout le temps.
.:. F.I.L.O : First in, Last out. Autrement dit, ta commande sera systématiquement traité en dernier par la serveuse
.:. Tu commandes un mojito, tu recois une menthe à l'eau.


Invivable, on est d'accord.

J'ai beau réfléchir à comment rattraper le coup, il me semble qu'il n'y a pas grand chose à faire. Alors on va devoir y retourner comme si de rien n'était, et ne pas sourciller la prochaine fois qu'elle nous vanne - parce que elle, elle n'a sûrement pas oublié et doit y penser à l'instant même où je tapote sur mon clavier.

Juste encaisser. Dans ton (gros) cul.